EXPULSION- INSALUBRITE-SURLOYER - LISTE D’ATTENTE
Pour une autre politique du logement dans les Hauts de Seine le 20 ET 27 MARS 2011 CANTON clichy levallois
• 100 000 demandes de logements sociaux en attente ;
• 260 000 logements insalubres ;
• 4 000 logements sociaux promis à la vente par l’Office départemental HLM ;
• Le financement du Conseil général en investissement consacré au logement en baisse de 2 millions d’euros (- 5 %) ;
• Les financements de construction de logements sociaux passés de 2038 logements en 2006 à 798 en 2009 ;
• Dans 14 villes, toutes dirigées par la Droite, un taux de logements sociaux inférieur aux 20 % exigés par la Loi SRU ;
• Loyers exorbitants dans le privé, mais aussi pour les personnes frappées par l’application du surloyer de la loi BOUTIN dans les HLM ; pourtant il est possible de geler cette application comme l’ont fait les membres de la communauté d’agglomération Sud de Seine et Malakoff vient d’annoncer qu’il n’y aurait pas de surloyer sur son parc social.
A CLICHY
La situation du logement social ne s’améliore pas
• plus de 4 000 demandeurs
• le maire socialiste se félicite de la Loi Boutin, appuie le surloyer et n'est pas hostile à la vente de certains HLM.
• 2006, la ville compte 30,8% de logements sociaux, mais elle en avait 32, 4 % en 1999.
•Des tarifs « discriminatoires » du chauffage urbain de l’ordre de + 40% pour les locataires
POUR UNE AUTRE POLITIQUE DU LOGEMENT SOCIAL DANS LE 92
• Arrêt des expulsions ;
• Construction de 5500 logements sociaux par an dont une majorité pour les plus démunis ainsi que des logements pour les étudiants ;
• Plan de résorption de logements insalubres ;
•Les aides du FSL (Fond de Solidarité Logement) doivent être étendues pour permettre aux ménages concernés de sortir des situations de précarité énergétique : le règlement de la partie des factures énergétiques dépassant le seuil des 10% des revenus, le financement de travaux d'isolation afin de faire baisser les factures énergétiques ;
•Développer des mécanismes de caution auprès des bailleurs privés afin de faciliter l’accès de ceux qui ont un emploi mais ne satisfont pas aux exigences parfois excessives des propriétaires qui cherchent à limiter leur risque.