Aux quatre coins du pays, les hôpitaux sont toute l'année victimes de plans de retour à l'équilibre qui, sous prétexte de résorber des déficits, la suppression des emplois provoque des fermetures de lits, quand ce n'est pas des services entiers.
Et en un été, comme d'habitude, malgré la baisse générale des activités, le départ en vacances d'une bonne partie du personnel fait plus clairement apparaître toutes les pénuries, en matériel mais surtout du personnel.
Les déficits, ou prétendus tels, ne sont pourtant pas monstrueux, en admettant que le mot déficit ait un sens, s'agissant, d'un hôpital public. Sur l'ensemble du pays, ils attendraient 574 millions d'euros. A peine 1% d'un budget de 55 milliards. Si le gouvernement avait 1% de déficit, il s'en féliciterait.
Mais, dans les hôpitaux c'est le prétexte pour imposer des milliers de suppressions d'emplois, plus de 700 cette année à Paris, 200 à Nantes, 800 à Lyon d'ici 2013. La ministre de la santé Roselyne Bachelot, annonce avoir crée 25 000 emplois dans les hôpitaux, au niveau national.
Mais les syndicats, annoncent la suppression de 20 000 postes. Les hospitaliers constatent que partout il y a moins de monde. Du coup c'est en permanence le stress et la surcharge de travail, les horaires intenables, les congés qui ne peuvent pas être prisent la crainte de la négligence ou de l'accident médical toujours possible. A Clichy l'hôpital Beaujon est également touché par ces suppressions de postes qui dégradent la qualité des services de l'hôpital public.
Je proteste contre les diminutions d'effectifs, la sonnette d'alarme doit être tiré car des risques sont pris avec la santé de la population. Ces réductions de budget et de postes sont totalement inacceptables.
Et en un été, comme d'habitude, malgré la baisse générale des activités, le départ en vacances d'une bonne partie du personnel fait plus clairement apparaître toutes les pénuries, en matériel mais surtout du personnel.
Les déficits, ou prétendus tels, ne sont pourtant pas monstrueux, en admettant que le mot déficit ait un sens, s'agissant, d'un hôpital public. Sur l'ensemble du pays, ils attendraient 574 millions d'euros. A peine 1% d'un budget de 55 milliards. Si le gouvernement avait 1% de déficit, il s'en féliciterait.
Mais, dans les hôpitaux c'est le prétexte pour imposer des milliers de suppressions d'emplois, plus de 700 cette année à Paris, 200 à Nantes, 800 à Lyon d'ici 2013. La ministre de la santé Roselyne Bachelot, annonce avoir crée 25 000 emplois dans les hôpitaux, au niveau national.
Mais les syndicats, annoncent la suppression de 20 000 postes. Les hospitaliers constatent que partout il y a moins de monde. Du coup c'est en permanence le stress et la surcharge de travail, les horaires intenables, les congés qui ne peuvent pas être prisent la crainte de la négligence ou de l'accident médical toujours possible. A Clichy l'hôpital Beaujon est également touché par ces suppressions de postes qui dégradent la qualité des services de l'hôpital public.
Je proteste contre les diminutions d'effectifs, la sonnette d'alarme doit être tiré car des risques sont pris avec la santé de la population. Ces réductions de budget et de postes sont totalement inacceptables.
Commentaires
Vous pouvez suivre cette conversation en vous abonnant au flux des commentaires de cette note.