Le blog des militants et élus du Front de gauche de Clichy

NON à la Fermeture de la maternité et de l'Hôpital Beaujon ! Signez la Pétition en ligne !

 

Pétition en Ligne ! Signez !!!

http://www.petitionpublique.fr/?pi=P2013N35036

Nous, Clichois, citoyens, nous voulons garder notre hôpital ! Le droit de naître à Clichy est menacé : la fermeture de la maternité de l’hôpital Beaujon est programmée. Nous exigeons son maintien et sa rénovation .L’hôpital tout entier est menacé : un projet de regroupement des hôpitaux Beaujon et Bichat sur un autre site est également programmé par la direction générale de l’Assistance publique des hôpitaux de Paris (AP-HP).Ces deux hôpitaux représentent aujourd’hui 1400 lits. Le nouvel hôpital, s’il voyait le jour, aurait une capacité de 1000 lits. En clair, l’équivalent de l’hôpital Beaujon et de ses 435 lits disparaîtraient purement et simplement. Nous lançons un cri d’alarme !
Des générations de Clichois et de Clichoises sont nées, se sont fait soigner à l’hôpital Beaujon. Cela doit continuer. Nous voulons garder notre hôpital de proximité avec tous ses services, sa maternité, ses urgences, avec plus de 30 000 passages par an, qui assurent plus de 25 000 hospitalisations. Nous savons que tous ces projets sont pris en application de la loi Bachelot adoptée sous l’ancien gouvernement. Aujourd’hui, elle s’applique pour satisfaire aux exigences de l’Union européenne. Mais nous, nous devons continuer à pouvoir nous soigner, nous et nos enfants. Cette loi Bachelot doit être abrogée. Si notre hôpital était rayé de la carte, le Nord des Hauts-de-Seine deviendrait un
désert médical. Nous ne laisserons pas faire. Madame la ministre de la Santé, nous vous demandons de nous recevoir pour : • Le maintien et la rénovation de la maternité de l’hôpital Beaujon, • Le retrait de tout projet de regroupement des hôpitaux Beaujon et Bichat, • Le maintien et le développement de l’hôpital Beaujon en tant qu’hôpital à part entière, avec tout son personnel, ses services de soins de proximité et d’excellence, administratifs, ouvriers, son plateau technique, ses blocs opératoires et ses consultations. Initiative soutenue par la section du Parti communiste français, le comité du Parti ouvrier indépendant, le Parti de gauche-Front de gauche, et Europe-Ecologie Les Verts de Clichy.

Signez la pétition en ligne :

 

 

 

Signez la pétition pour une tarification unique des transports en Ile-de-France !

La tarification unique des transports en Ile-de-France – une seule zone Navigo au prix de la zone 1 et 2 – est une des premières mesures qu’a défendues la liste du Front de Gauche lors des dernières élections régionales.
Il est insupportable que les Franciliennes et Franciliens qui habitent en banlieue, surtout en grande couronne, subissent une sorte de double peine. Des conditions de transport bien moins bonnes pour un prix bien plus élevé que les autres.

Aujourd’hui se déplacer n’est plus un choix ! L’Ile-de-France se développe malheureusement selon un modèle inégalitaire. Les emplois sont concentrés là où le logement est le plus cher. Il est donc de plus en plus difficile pour le grand nombre qui ne roule pas sur l’or de se loger près de son lieu de travail ou de travailler là où il habite. D’où des transports à la fois longs, fatigants et imposés. Nous refusons que, pour compléter le tableau, ils soient plus chers !

Le président PS de la Région Ile-de-France, Jean-Paul Huchon, a accepté au lendemain des élections de mettre la tarification unique à l’étude. C’est bien, mais deux ans après, il est temps de passer aux actes. Nous pouvons le faire dans quelques semaines, à l’occasion de l’adoption du budget du Conseil régional. Sinon ce serait une année encore de perdue !

Signez la pétition en ligne !

Pour signer : http://www.frontdegauche-alters.fr/2011/10/signez-la-petition-pour-une-tarification-unique-des-transports-en-ile-de-france/

Partager avec vos amis:

Au Conseil régional, le Front de Gauche et les écologistes défendent ensemble la tarification unique. Mais nous ne sommes pas majoritaires et il faut arracher le vote favorable des élus PS. Pour cela, la mobilisation des usagers est indispensable. C’est elle déjà qui a permis, par exemple, de mettre en lumière la dégradation des conditions de transports sur les lignes des RER C et D, délaissées par une direction de la SNCF préoccupée avant tout de se préparer à l’ouverture à la concurrence avec le privé en privilégiant le TGV. Les choix de la direction de la RATP qui gère les RER A et B et les métros ne valent pas mieux. Elle préfère conquérir de nouveaux marchés à l’étranger. Or tout euro investi à l’étranger, c’est autant de moins pour l’Ile-de-France. Résultat un service en constante dégradation, comme peuvent déjà le constater quotidiennement les usagers de la ligne 13 !

Nous vous invitons donc à vous faire entendre en signant la pétition en ligne. Nous pouvons obtenir cette avancée majeure. Et faire ainsi baisser le coût d’un besoin essentiel pour le plus grand nombre au moment où la crise serre tant de monde à la gorge.

 Vous pouvez également télécharger cette pétition au format pdf en cliquant ici, et la faire signer à vos amis.

Félicitation à l’équipe de France de football féminin

Toutes nos félicitations aux joueuses et à l’encadrement pour leurs qualifications en demi-finale de la Coupe du Monde et pour les prochains Jeux Olympiques de Londres 2012.

Cette double qualification historique est un rayon de soleil pour l’avenir du sport féminin dans notre pays.

Nous vous adressons nos encouragements pour la suite de la compétition et au-delà.

Nous poursuivons notre engagement pour que le football féminin, le sport féminin dans son ensemble, soit traité médiatiquement à égalité avec le sport masculin.

Il est regrettable que les matches ne soient pas diffusés par le service public, malgré l’engouement de nos concitoyens et une mobilisation importante autour de la campagne « « A la télé, pas de filles hors jeu » de l’association Femmes Solidaires, soutenue par Marie George Buffet, Michel Hidalgo et Jeannie Longo et relayée par un voeu adopté au Conseil du 12ème arrondissement de Paris.

Il est dommage de constater que le gouvernement n’ait pas répondu à cette sollicitation de  modifier le décret du 24 décembre 2004 sur la retransmission par les chaînes publiques des événements sportifs d’importance majeure, afin d’intégrer la Coupe du Monde de football féminin et pour respecter l’égalité femme – homme. D’autant plus regrettable que lors du vote sur ce vœu au Conseil du 12ème arrdt de Paris, arrondissement tant convoité par Chantal Jouanno, les élus de la Majorité présidentielle se soient abstenus.

Il est déplorable que mercredi prochain France Télévision diffusera « l’étoffe des champions », tandis que la chaîne privée du groupe Bolloré, Direct 8, diffusera la demi-finale !  

La mobilisation autour de la campagne « A la télé, pas de filles hors jeu » doit s’amplifier. Nous renouvelons notre demande à la Ministre des sports et au Ministre de la culture et de la communication pour une retransmission des demies finales et de la finale de la Coupe du Monde de football féminin sur une chaîne publique. Un geste essentiel pour une reconnaissance nationale du sport féminin.

L'éducation doit redevenir une priorité nationale !

 
L'Éducation nationale est la cible de nombreuses attaques du gouvernement depuis 2007. En 4 ans, ce sont plus de 65 000 postes qui ont été supprimés dans les écoles, collèges et lycées. Ces suppressions concernent en premier lieu les postes d'enseignants avec des conséquences catastrophiques pour les élèves : heures manquantes, classes surchargées, enseignants non remplacés, etc. Mais ces suppressions affectent également tous les autres personnels intervenant dans l'Education nationale : médecins scolaires, infirmiers, enseignants spécialisés, etc.

Face à ces attaques sans précédent, un collectif de parents d'élèves et d'enseignants de Seine-Saint-Denis a lancé la semaine dernière un appel pour que “ l'Éducation nationale redevienne une priorité nationale ” (pétition à signer en ligne).

Martine Billard, co-présidente du Parti de Gauche était présente lors de la conférence de presse lançant cet appel. Elle a salué cette initiative créée dans une véritable démarche unitaire entre parents d'élèves et enseignants, unité nécessaire à l'heure où le gouvernement tente par tous les moyens de nous dresser les uns contre les autres.

Pour Martine Billard, “ si on veut que tous les enfants de ce pays soient des futurs citoyens autonomes, capables, par eux-mêmes, de décider de leur avenir, il faut leur en donner les moyens ; il faut que, partout, quel que soit le lieu du territoire, quelle que soit l’origine sociale, tous les enfants aient les mêmes possibilités ”. Bien sûr, la question des moyens mis à disposition de l'École publique est importante. Pour cela, le Front de Gauche entend mener une profonde réforme fiscale qui permettra de mener les réformes nécessaires dont celle de l'École. Pour le Front de Gauche, il est également indispensable que les fonds publics reviennent à l'École publique. Mais cet appel a également le mérite de poser la question du “ sens de l'école ”. C'est pour cette raison que Martine Billard a tenu à saluer cette initiative de défense d'une école qui “ permet à l'ensemble des enfants de notre pays de devenir des citoyens responsables ”.

Signez la pétition : “ L’éducation doit redevenir une priorité nationale ! ”

Santé en danger : Journée d'action unitaire le samedi 2 avril !

 

Manifestation 22 janvier pour un autre budget Refusons le budget de pénurie de l’Éducation nationale !

Manifestation à 14h30 de Luxembourg vers le ministère de l’éducation nationale. 

Le collectif “L’éducation est notre avenir ” * dénonce les effets catastrophiques qu’aura la mise en œuvre du budget 2011 pour l’Éducation nationale, s’il est adopté par le Parlement. 

Le budget 2011 prévoit la suppression de 16 000 emplois et n’affiche d’autre ambition pour le système éducatif que la recherche d’économies à partir du dogme du non remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant à la retraite. Pourtant, les effectifs d’élèves vont continuer d’augmenter et la part du PIB français destinée aux enseignements primaires et secondaires a diminué dans la période récente en passant de 4,5% en 1995 à 3,9% en 2006. En île de France, alors que les effectifs seront en hausse dans toutes les académies et à tous les niveaux d’enseignement, ce sont au total 

1263 postes qui sont supprimés (317 dans le 1er degré, 946 dans le second degré). 

71 postes qui sont supprimés dans les Hauts de Seine. Combien à Clichy ? 

Le Partenariat Public Privé (PPP) : des financements toxiques pour les services publics et les contribuables !

Alors que le gouvernement libéral, sous l’impulsion de l’Union Européenne, généralise la privatisation des services publics (la Poste, santé, éducation,….) la question des financements des équipements publics reste entière pour les collectivités locales étranglées par le désengagement financier de l’Etat et la suppression de la taxe professionnelle.

Se pose alors la question du financement des équipements collectifs et structurants des territoires dans un contexte social où la crise continue à faire des dégâts, et où  il est impossible de  faire porter, une nouvelle fois, ces charges aux familles ! La mise en place des PPP s’inscrit dans un vaste mouvement de privatisation de l’action publique.

 De part et d’autres, nous observons déjà le recours à ce type de financement : autoroutes, hôpitaux, prisons, universités, stades, écoles…et nous pouvons d’ores et déjà en évaluer les conséquences : augmentation des tarifs pour les usagers, « rationalisation du personnel», baisse de la qualité du service rendu car l’intérêt général doit laisser place à la rentabilité financière, privatisation des services publics….

 Si les banques sont intéressées par ces nouveaux montages, c’est que les profits sont évidemment plus grands. La charge n’en sera que plus forte pour les finances des collectivités et se répercutera indéniablement sur les impôts, avec une pression supplémentaire sur les dépenses de fonctionnement (le PPP s’inscrivant en dépense de fonctionnement), et mettant ainsi en péril les actions de service public !

 Pourquoi ?

 Avec les Partenariats Public Privé, il s’agit de payer un loyer aux banques, à un taux supérieur aux emprunts bancaires pratiqués pour les collectivités locales.

Va –t-on être contraints par ces PPP de recourir à une forme de crédit révolving, à des taux exorbitants ?

 La collectivité devra s’acquitter d’un loyer pendant 25 ans par exemple avant d’en devenir propriétaire. Il s’agit donc d’un emprunt déguisé. Le problème tient notamment au fait qu’à la différence d’un emprunt classique qui se négocie autour de 2%, on estime à 9% le coût du remboursement des établissements issus d’un PPP. Certaines collectivités  se trouvent donc dans une situation comparable à celle de la Grèce. Trop endettées pour emprunter à bas prix, elle devient la proie de prêteurs ou plutôt de prédateurs qui entendent profiter de ses difficultés pour augmenter leurs profits. 

Mon intervention lors du Conseil municipal extraordinaire du mardi 22 juin 2010 sur la défense des services publics de proximité !

 

 

Monsieur le maire,

Mesdames et Monsieur,

Chers collègues,

Chers Clichoises, Chers Clichois,

 

Merci de votre présence ce soir qui sera un pas de plus pour conserver et moderniser notre hôpital Beaujon.

 

Ensemble et en mouvement nous y verrons naître nos enfants. Demain plus tard conserver notre santé quand l’heure de la retraite sonne. « L’avenir c’est ça ».

 

Les citoyens de notre pays, il y a plus de deux siècles ont chassé de leur trône et ont mis fin à l’absolutisme Royal, et plus tard ceux qui ont choisie l’occupation étrangère au front populaire, notre pays c’est doté d’une constitution dont l’article premier déclare : « la France est une république indivisible laïque démocratique et sociale.

 

Nos services publics sont laïques, notre système de santé solidaire en est une démonstration unique en Europe et disons le dans le monde.

 

C’est en suivant l’exemple de la France libéré par la mise en place du programme du Conseil Nationale de la Résistance que 65 ans après le président des Etats Unis et l’administration américaine décide de mettre en place un système de protection sociale en matière de santé, dans la même période ceux qui gouvernent actuellement notre pays veulent y renoncer.

 

Oubliant tous principes ils abandonnent à la finance et à la privatisation notre système de santé solidaire et laïque.

 

Afin de la livrer pieds et poings liés aux assurances de Monsieur Kessler tête pensante du grand patronat, et à l’industrie pharmaceutique dont est issu notre ministre de la santé Madame Roselyne Bachelot ou elle a conservé des amitiés.

 

Ce n’est pas la première fois que le patronat veut reprendre ce qu’il a été obligé de retrancher de ses profits générés par ce système en crise dénommé CAPITALISME.

 

« Capitalisme » n’est pas une insulte c’est la propriété des moyens de production et d’échange. C’est l’accumulation des capitaux boursiers et spéculatifs qui sont une insulte à ceux qui souffrent des inégalités, du chômage, de la misère en France et dans le monde, ce système qui propose de laisser les salariés les plus âgés au travail et de laisser notre jeunesse au chômage.

 

Conseil municipal extra ordinaire sur le devenir de l'hôpital Beaujon le mardi 11 mai

Déclaration commune de Aïssa Terchi, Sophie Coudert, Alain Fournier, Neila Hamadache, Marie-Claude Fournier –  Avenir de l’hôpital Beaujon - Conseil municipal du 11 mai 2010

 

Monsieur le Maire,

Chers collègues,

Mesdames, Messieurs,

 

Notre indignation face au démantèlement de notre service public hospitalier étant  totale et partagée, il nous est donc apparu légitime de ne pas exprimer à tour de rôle ce même sentiment de colère mais de faire cette déclaration commune des élus  Mouvement Radical et Verts Europe Ecologie.

 

La politique développée par l'Assistance Publique-Hôpitaux de Paris conformément aux vœux du Gouvernement, conduit de plus en plus à un étranglement financier pur et simple des hôpitaux, comme l’ont fait savoir à plusieurs reprises les quarante présidents de comités consultatifs médicaux (CCM) de l'AP-HP qui représentent 15 000 médecins de l'AP-HP.

 

Ils le soulignent ainsi : « la place est aux économies à très court terme et à tout prix. Les investissements non engagés sont arrêtés. On nous demande désormais de recruter [...] sur la base d'une masse salariale constante qui conduit à une réduction d'emplois et compromet l'avenir ». Ces restrictions budgétaires, tout comme le plan de regroupement des 37 structures de l’AP-HP en 12 établissements, ne correspondent à aucun moment à des objectifs médicaux ni de santé publique clairement identifiés. C’est inacceptable et dangereux car l’accès de tous à des soins de qualité ne sera plus garanti. Comme c’est le cas pour beaucoup de services publics aujourd’hui, on assiste à une situation absurde.  Les services publics, l’hôpital ici, n’évoluent plus pour s’adapter aux besoins de la population ; mais ce sont les individus, vous, nous, qui sommes contraints de nous adapter au détriment de notre santé.

 

Pour un grand 1er mai unitaire tous mobilisés

 

Appel des organisations syndicales

Manifestation à Paris à 14h30 République

Emploi, conditions de travail, pouvoir d'achat, avenir des retraites sont au cœur des préoccupations des salariés du public et du privé. Le sont aussi les axes revendicatifs portés en commun par l'intersyndicale depuis 16 mois. La situation économique et sociale est d'ores et déjà à l'origine de nombreuses luttes, souvent unitaires, des salariés du public comme du privé. Ces mobilisations doivent s'inscrire dans la durée.
C’est pour ces raisons que j’appel l’ensemble de la population à se mobiliser, car l'action reste une priorité pour le monde du travail, mais également pour affirmer leurs attentes d'un monde plus juste où, partout, chacun a droit à un travail décent. 
Nous devons réaffirmer comme en 2009, que la sortie de crise passe par des mesures en faveur de l'emploi, des salaires et pensions, une fiscalité plus juste, des politiques publiques en faveur d'une relance économique tournée vers la satisfaction des besoins sociaux.